Ryu Oshikawa

Ryu a eu une enfance assez difficile. Il vivait dans un milieu assez défavorisé. Sa mère Akai Ibanez, une Espagnole, et son père Gendô Oshikawa, un japonais, ont eu Ryu très tôt. Puis les années passèrent et 8 autres enfants naissent. Kari, Kyochi, Toya, Yayko, Asuka, Lana, Yota, Suki. Le père de Ryu avait un énorme problème de boisson et la mère de Ryu commençait à devenir faible. Ryu, remarqua que la famille commençait à devenir de plus en plus pauvre et mal au point. Le soir, il mangeait que des choses réchauffées et peu coûteuses. Ils ne recevaient aucun cadeau à leur anniversaire et la mère de Ryu devait fabriquer des vêtements aux autres enfants de la famille. Les plus grands décidèrent de se réunir.

Un soir de pleine lune, Ryu alla réveiller Kyochi, Kari et Toya. Il leur expliqua la situation. Celui-ci parla avec charisme et facilité. Les plus vieux écoutèrent attentivement. Ryu leur parla de son idée, celui de VOLER, pour aider la famille. Kari, désapprouva l'idée et ne voulait pas que ses frères et sœurs risquent sa vie pour cela. Ryu comprenait la réaction de sa sœur et il ne pouvait pas lui en vouloir, car celle-ci avait raison. Ryu, Kyochi et Toya acceptèrent de le faire. Des mois passèrent et ceux-ci volaient nourriture, vêtement, argent et certaines choses utiles. Ryu était connu sous le nom du Renard Argenté (Gin'iro no Kitsune). Une prime était mise à la capture de ce voleur .après quelques années, la mère de Ryu mourra. sa mort était causée par le manque de protéine et de vitamine.

Chaque soir, Gendô entrait et prenait l'argent que Ryu et ses frères et sœurs avaient caché pour l'enterrement de leur mère. Enragé à cause de l’action de son père, Ryu décida de mettre fin à leur problème. il analysa la situation et découvrit la cause de leur pauvreté : Gendô. Un soir, lorsque Mr Oshikawa alla dans la réserve pour prendre l'argent, comme il le fessait chaque soir, Ryu l'attendait. Couteau à la main, il décida de tuer son père. Une bataille éclata. Puis, lorsque Ryu eu avantage sur son père il mit le couteau sous la gorge de son père, Ryu commença à entrer la pointe dans la gorge quand tout à coup Suki, la plus jeune de ses sœurs vit Ryu tenir le couteau. Suki apeurée resta immobile. Ryu lâcha prise, alla vers sa jeune sœur et lui dit qu'elle devait aller dans son lit, car elle fessait un cauchemar. Pendant ce temps le père de Ryu prit le couteau. Suki alla dans sa chambre à toute vitesse. Gendô frappa le jeune garçon qui s'écroula sur le sol. Mr Oshikawa appela les autorités et ceux-ci prirent Ryu et le mis dans un pensionnat. Un jour d’automne, son frère Kyochi entra lui aussi comme pensionnaire, car celui-ci avait tenté de voler le trésor de la famille impériale. Ryu s'inquiéta de plus en plus du sort de ses frères et sœurs. Alors, par une journée, pendant que les autres dormaient Ryu décida de mettre le feu dans le pensionnat. L'alarme sonna et tout le monde sortit. Ryu ordonna à son frère d'aller chercher ses autres frères et sœurs et de les faire aller chez leur tante Suzanna. Son frère réussit à s'échapper, mais Ryu ne réussit guère. Il fut envoyé en Angleterre dans un pensionnat plus grand que celui du Japon. Cet endroit était réputé pour être sévère avec les étudiants et elle était dirigée par des sœurs.

À son arrivée, Ryu resta lui-même et tenta de se révolter et de faire le plus de tort aux autres. Un soir, tous les étudiants étaient réunis pour le souper. Il était assis tranquille en train d’avaler la dégoûtante nourriture quand il décida de faire du tort à une petite, qui semblait très tranquille. Il lança un projectile de compote de pommes derrière la tête de celle-ci. Ryu éclata de rire. Il était fier de son coup. Mais, il vit de près le nouveau projectile de patate pilée. Le garçon évita de peu le missile, qui atterrit dans les cheveux d’un garçon derrière lui. Furieux, il lança à son tour son dessert. Mais, celle-ci l’évita et il atterrit dans l’assiette de sa voisine. Et c’est ainsi qu’une bagarre se déclencha. Ryu se faufila sous la table. La jeune fille fit de même et se rendit près de Ryu. La jeune fille se rendit près de Ryu et lui sauta dessus. Une guerre de coups se déclencha et fût rapidement estompé par une main froide agrippant les épaules des deux jeunes. Ryu fut surpris et resta saisi. Ryu se releva et secoua ses vêtements. Il posa un dernier regard sur la jeune fille. Celle-ci en fit autant. La mère supérieure les gronda et les obligea à faire le ménage de la salle à dîner. Lors de cette tâche, une guerre d’eau et de savon se déclencha. La supérieure revient et chicane les deux enfants. Ryu avait lancé la barre de savon près de la porte. La femme sortit et posa le pied sur le savon, ce qui la fit tomber. Ryu éclata de rire et la jeune fille en fit autant. Ils se présentèrent en se rendant au bureau du directeur. Il y fit une rencontre, une jeune fille nommée Kassandra, qui avait été prise a fumé dans les toilettes. Ils décidèrent de faire tout un pacte d’amitié. Ryu était considéré comme un chef. Il resta dans ce pensionnat deux ans.
Il quitta subitement, sans le dire aux autres filles. Il se fit transférer dans un autre pensionnat, car la mère supérieure préférait séparer le trio. Il fut envoyé dans un pensionnat de France. Il y rencontra une jeune fille, dont il tomba follement amoureux d’elle. Un an passa et Ryu était enfin libre. Il décida de se rendre, avec sa copine, en Angleterre. Par pur hasard, il y retrouva Maïna et Kassandra. Jalousie dans l’air, la copine de Ryu décida de le laisser, car elle trouvait qu’il était trop près de ses amies. Durant les vacances, il alla chez sa tante Suzanna, y passer quelques jours. Sa petite sœur Suki, ne lui adressait plus la parole. Un froid gigantesque séparait les membres de la famille. Ryu discuta avec sa tante et prit la décision de partir et de ne plus revenir. Âgé maintenant de 15 ans, Ryu collectionnait les punitions et les nombreux délies. (Nombreux vols, donc un à main armée.) L’école terminée, Ryu continua de rester dans cette ville et fit des réserves de sous en poursuivant ses nombreux délits.

Âgé de 21 ans, Ryu quitta cet endroit et se rendit avec Maïna au Japon. Celle-ci était comme un enfant. Elle adorait l’endroit. Ryu ne voulait pas lui faire visiter le pays, au contraire, il voulait y rester le moins longtemps possible. Son but ultime était de tuer Gendô. Il y rencontra son père. La soirée débuta par une conversation mouvementée, les jurons et les cris volaient dans la pièce. Soudain, Gendô se jeta sur Ryu, les mains serrant le cou du jeune homme. La jeune Irlandaise était apeurée et remarqua bien vite que son ami commençait à manquer d’air. Maïna étant affolée, elle saisit une fourchette et la planta dans le bras de Gendô, qui lâcha immédiatement Ryu. Ryu tomba au sol et tenta de reprendre son souffle. Fou de rage, il la gifla. Maï ne bougea pas d’un poil. Insulté, le père s’apprêtait à faire une nouvelle tentative, mais Ryu prit la première chose qu’il eut sous la main, un couteau de cuisine rouillé, et l’enfonça dans la cuisse de son père. Le jeune homme attrapa alors la main de Maïna et la sortit de la maison, pour ensuite y retourner. Il chercha Gendô d’un air enragé. Il ne le retrouva pas. Il se mit alors à hurler de rage.
Il sortit alors immédiatement de la maison vers Maïna, de peur qu’on son père en profite. Il alla vers Maïna. Le regard de Ryu était très sombre et il avait les poings serrés fortement. Il se laissa tomber sur les genoux et baisa la tête. La discussion ne reprit pas. Ryu resta sur le sol pendant plusieurs minutes. Avant de se relever, il décida de prendre la main de Maïna. Ryu fit les valises et prit le plus de choses possible. Il chercha la cagnotte cachée dans la maison. Il y trouva quelques dollars. Il s’enfuit de la maison avec Maïna. Ryu ne dit aucun mot pendant 2 semaines. L’atmosphère était invivable. Ryu dénicha un petit loyer en haut d’une boulangerie.
L’endroit était minuscule et très sale. Ryu y emménagea. Par chance, le loyer n’était pas très dispendieux. Le premier soir, Maïna se coucha sur le divan-lit et Ryu s’installa sur le sol. Le lendemain matin, Ryu se réveilla tôt. L’odeur du pain chaud lui vient au nez. Il se leva et se rendit vers le petit magasin. Il y entra et demanda de voir le propriétaire. La femme s’avança vers lui et le regarda avec un sourire. Un homme leva la tête et fit un regard assez méprisant. Ryu ne s’était pas peigné, il était mal vêtu et de plus il avait le regard d’une personne qui venait de se réveiller. Ryu demanda une miche de pain et la femme lui en prépara une. Lorsqu’elle lui remit le pain, Ryu lui tendit un billet. La femme lui remit avec un sourire… Ryu lui demanda s’il cherchait des gens pour travailler dans le coin. Le boulanger répondit fortement et bêtement : NON !!. La jeune femme regarda l’homme et lui dit d’une petite voix douce quelques mots à l’oreille…Ryu s’excusa, sortit de la pièce et se dirigea vers l’arrière de la boutique. La jeune femme revint vers lui et lui dit : « Tu commences demain à 8 h… et pour ta copine… c’est 10h » il la remercia et retourna rejoindre Maïna.
Il ouvrit la porte et par surprise, il ne vit pas Maïna. Il la chercha du regard, laissant tomber le pain sur le sol. Il était maintenant inquiet. Il la chercha pendant plusieurs minutes. Il entra dans la salle de bain. Il y avait plein d’eau sur le plancher. Il vit la jeune fille, encore vêtue, dans le bain, les jambes repliées vers elle. L’eau recouvrait tout son tronc et continuait de couler. Elle avait le regard vide et pleurait. Ryu arrêta l’eau et s’assit dans le bain en face de la chipie. Il regarda la jeune fille et ne dit aucun mot. Il avança sa main et la déposa sur le genou de Maï. Mai eut un grand frisson. Elle leva la tête et ses larmes se doublèrent. Ryu resta devant elle sans dire un mot. Il savait que Maïna était dans un état particulier. Maïna se lança dans les bras de Ryu. Elle déposa sa tête contre l’épaule droite elle pleurait encore plus et serrait les poings. Elle se mit alors à frapper le torse du japonais en lui criant toute sorte de choses. Ryu ne réagit pas. Il savait pourquoi la jeune fille éprouvait une telle colère et cela lui fit comprendre quelque chose, qu’il éprouvait un sentiment plus fort que celui de l’amitié pour elle.
Finalement, après de nombreux coups et d’énormes cris, la jeune fille tomba épuisée dans les bras de Ryu. Le lendemain matin, Ryu se leva tôt et Maïna suivit de peu. Ryu lui fit à manger… Du moins tenta de faire quelques choses de potables. Ryu et Maïna se préparèrent pour travailler. Lorsque 8 heures arrivèrent, le jeune japonais sortit et se rendit à la boutique d’en dessous. Ryu entra et se mit à la tâche. Balai en main, il nettoya le devant du magasin. Son amie la regardait par la fenêtre. La boulangère décida de la faire entrer et de la faire travailler à la caisse. Maïna ne connaissait pas beaucoup de mots en japonais et elle utilisait souvent le langage que Ryu utilisait. Cela ne faisait pas bonne impression, alors la patronne la mit en arrière avec Ryu dans la cuisine. Maïna pétrissait du pain et se mit à éternuer dans la farine. Un nuage de farine recouvrit la pièce et colora le visage de Maïna. Ryu eut un rire et cela était très rare de le voir sourire.
Après cet événement, l’ambiance devint plus agréable. Il continua à travailler pour amasser quelques dollars. Tout allait bien, enfin, jusqu'à ce qu’un événement désagréable survient. À plusieurs reprises, l’homme, que déteste le plus Ryu [à l’occurrence ici, son père] marchait en passant plusieurs fois devant la boulangerie. Chaque rencontre faisait bouillir le sang de Ryu. Ne voulant pas révéler sa présence, il se contrôla, mais chaque refoulement de colère finissait toujours par sortir. Et lorsque celle-ci sortait généralement, une casserole en recevait les dommages. Ryu se répétait sans cesse qu’il allait surement prendre un autre chemin d’ici quelques jours. Mais NON! Semaine après semaine, puis jour après jour, l’homme passa devant la boutique. Ryu se sentit harceler, narguer, observer… La goutte d’eau débordait du vase.
« Cette fois s’en est assez… Il va y goutter!! »
Ryu sortit d’un coup de vent. Poings serrés, yeux noirs, le cœur battant à une vitesse incroyable… il sortit comme une flèche de la boulangerie. Ne se préoccupant pas de la circulation, des passants, il sauta sur l’homme et le tabassa fortement. Des injures, des cris, des pleurs, du sang et des bruits de sirènes… le décor parfait. Ryu se fit agripper de dos, une main froide, délicate, couverte de farine… un cri, des pleurs, une larme chaude effleura Ryu. Puis, noir… moment sans vie…
Ryu se réveilla quelques instants plus tard assis au poste de police. Interview salée… une femme, d’une allure alléchante, entra dans le bureau. Sourire en coin, elle relooka Ryu de haut en bas. Elle s’approcha de celui-ci, d’un pas séduisant.
« Vous êtes un homme d’une force… incroyable… d’une rage inconsidérable… pourquoi éprouver une telle haine envers un inconnu? »
« un inconnu, cet homme est un salopard… un moins de rien... Cet homme n’a rien fait de bon dans sa vie… CET homme…est mon père et il n’est pas un saint homme… »

« Votre père? Bien que cette action n’est pas plus acceptable… »

« Ne me dites pas comment être ou agir... je n’ai pas besoin des conseils d’une femme… »

La femme s’avança vers lui. Elle était sous l’emprise du jeune homme. Elle décida de l’aider. Elle voyait une rage et d’une détresse dans les yeux de l’homme. Elle décida de le transformer en loup… La femme s’approcha de lui et agit sans que l’homme n’ait le temps de réagir. La femme lui expliqua que c’était son seul et unique choix. Que le japonais n’avait aucune autre chance. Le japonais perdit connaissance. Quelques heures plus tard, il fut libéré et il se rendit à l’appartement. Ryu avait des étourdissements. Ses oreilles lui faisaient, très mal… il voyait, des détails… si minime, qu’il avait l’impression que tout était 10 fois plus fort que d’habitudes. Afin de ne pas recauser de problèmes à miss Kyuun (boulangère), Ryu offre à Maïna de partir vers un autre endroit. Il se rendit dans une autre ville et Ryu tenta d’y vivre correctement… en essayant de cacher cette « nouvelle Vie » qui était en lui.